Tchekhov, le rêve ou la vie ? (1/4) – « Platonov », être sans père

  LES CHEMINS DE LA PHILOSOPHIE par Adèle Van Reeth Tchekhov, le rêve ou la vie ? (1/4) "Platonov", être sans père https://www.franceculture.fr/player/export-reecouter?content=ed8d8485-62b9-4129-9fd8-16cb42a7ea43   À 17 ans, Tchekhov écrit sa première pièce qu'il propose à une grande comédienne qui la lui refuse. Il remise le texte jusqu'à sa mort en 1904. Mais en 1920, on redécouvre ce … Lire la suite Tchekhov, le rêve ou la vie ? (1/4) – « Platonov », être sans père

Mandelstam, 1924 le contemporain de personne

André Markowicz  Cette chronique (trop longue, comme souvent— mais vous prendrez le temps quand vous voudrez ) sur un poème de Mandelstam sera un peu différente de celles que j’ai déjà consacrées à la « traduction sans traduire » de poèmes russes pour lesquels je ne peux pas donner de traduction écrite. Le fait est … Lire la suite Mandelstam, 1924 le contemporain de personne

Le chemin du préverbe russe

André Markowicz Le chemin du préverbe russe (note en traduisant un livret d’opéra) Tous les jours, au rythme de 25 vers par jour (et je vous jure que ça prend du temps), je travaille sur une commande. C’est rare que j’accepte des commandes, mais celle-ci, j’ai été très heureux de l’accepter. L’Opéra de Paris (si, … Lire la suite Le chemin du préverbe russe

Le Semeur, Pouchkine, Marina Tsvétaïéva

André Markowicz C’est un poème de Pouchkine écrit, en 1823, dans un moment de solitude et de désespoir absolu. Une crise fondatrice : Pouchkine avait vu s’effondrer autour de lui tous les espoirs de faire chuter les autocraties européennes, et, en Russie, il avait entré en désaccord fondamental avec ses amis qu’on allait appeler « … Lire la suite Le Semeur, Pouchkine, Marina Tsvétaïéva

Celle qui est restée, Anna Akhmatova, 1917

Celle qui est restée, Anna Akhmatova, 1917 ( chronique de André Markowicz ) C’est un poème daté de «l’automne 1917 », sans autre précision. Est-ce avant la « révolution » d’Octobre, est-ce juste après ? Toujours est-il qu’il est là, cinq strophes de tétramètres iambiques (une de nos formes d’octosyllabes), avec des rimes croisées, A … Lire la suite Celle qui est restée, Anna Akhmatova, 1917

Traduire faux pour traduire juste

Traduire La Cerisaie - rencontre avec André Markowicz et Françoise Morvan Rencontre avec André Markowicz et Françoise Morvan (ENS-lsh, 15/12/2008) Marion Boudier : Cette rencontre, organisée à l’occasion d’un atelier de dramaturgie sur La Cerisaie, montée par Alain Françon à la Colline en mars 2009, a pour thème la traduction, et plus largement, ses liens … Lire la suite Traduire faux pour traduire juste

Ossip Mandelstam — Anna Akhmatova. Nouvel essai de traduction sans traduire.

Perfectionner sans cesse une traduction est un exercice jubilatoire! André Markowicz Ossip Mandelstam — Anna Akhmatova, "à Cassandre", nouvel essai (très long) de traduction sans traduire. Je pensais à Pouchkine, donc — et puis, de Pouchkine, je repasse au « Soleil d’Alexandre », et je me dis que je voudrais parler du soleil de Pouchkine … Lire la suite Ossip Mandelstam — Anna Akhmatova. Nouvel essai de traduction sans traduire.

Soljenitsyne, 3. « Deux cents ans ensemble » — Un article publié dans Charlie-Hebdo.

André Markowicz   Parie 1 et Partie 2  Soljenitsyne, 3. "Deux cents ans ensemble" — Un article publié dans Charlie-Hebdo. À la mort de Soljenitsyne, j'avais publié un article dans Charlie, invité par Philippe Val et Stéphane Bou. Je ne retrouve pas l'article dans mes archives — qui auraient besoin qu'on y fasse de l'ordre... — … Lire la suite Soljenitsyne, 3. « Deux cents ans ensemble » — Un article publié dans Charlie-Hebdo.

Pour le 9 mai. Une soirée chez Etkind : l’exil. На 9 мая. Вечер у Эткинда: изгнание.

«...Видеть эти глыбы – у каждого своя правда о войне, свои воспоминания о до и после, арест и исчезновение родных, друзей, десятками, уничтоженных за четыре года мясорубки, или истребленных еще раньше, и потом — каждый из них со своим творчеством, своей жизнью и несгибаемой энергией. Вы ее чувствуете — эту энергию, просто глядя на них. … Lire la suite Pour le 9 mai. Une soirée chez Etkind : l’exil. На 9 мая. Вечер у Эткинда: изгнание.

Les cinq fois où ma grand-tante a vu Alexandre Blok

https://www.facebook.com/andre.markowicz/posts/1616018635277109?fref=nf Une chronique sublime d'André Markowicz. "...Ce poème-là, que je suis absolument incapable de traduire tellement j’en comprends les enjeux, il l’analysait comme une espèce de sommet de l’art classique, du cosmos triomphant du chaos, comme un aboutissement de ce que Hugo appelle « Chaos vaincu ». Un ordre absolu, une harmonie parfaite, une musique … Lire la suite Les cinq fois où ma grand-tante a vu Alexandre Blok